Étoile Française Du New York City Ballet

LeNew York City Ballet est une compagnie de ballet américaine fondée en 1948 par les chorégraphes George Balanchine et Lincoln Kirstein. Logo du New York City Ballet. Le NYCB est composé d’environ 90 danseurs,ce qui en fait la plus grosse compagnie des Etats-Unis. Le répertoire de la compagnie compte environ 150 œuvres, principalement chorégraphiées par
Andrew Kelly / Reuters Misty Copeland presents a creation during the American Heart Association's AHA Go Red For Women Red Dress Collection, presented by Macy's at New York Fashion Week February 11, 2016. REUTERS/Andrew Kelly Andrew Kelly / Reuters DANSE - "Je fais cela pour toutes les petites filles à la peau brune", répète régulièrement Misty Copeland dans son autobiographie Une vie en mouvement. Vendredi 2 septembre, cette première danseuse du American Ballet Theatre, l'équivalent d'une danseuse étoile, brillera sur la scène de l'Opéra Bastille dans le ballet de Marius Petipa et d'Alexei Ratmansky, La belle au bois dormant. Sa compagnie est invitée pour huit représentations à Paris, elle sera présente dans trois, le 2, le 3 et le 10 septembre. Avant d'en arriver là, Misty Copeland a dû attendre longtemps. 32 ans exactement avant d'être nommée "principal dancer" le 30 juin 2015. Un parcours classique pourrait-on penser. Ce serait oublier la couleur de sa peau qui a été tant pointée du doigt comme un obstacle par le monde du ballet. Et pourtant, l'an dernier, sur la pointe des pieds, la ballerine a révolutionné 75 ans de tradition. Elle est la toute première danseuse afro-américaine à accéder à ce poste tant convoité depuis la création de l'American Ballet Theatre en 1940. "J’ai consacré toute ma carrière à devenir une danseuse étoile à l’American Ballet Theatre car je voulais abattre une barrière qui parait bien souvent insurmontable. Malgré ce que certains ont pu suggérer, la gloire n’est pas mon objectif. Si je voulais entrer dans l’histoire, ce n’est pas seulement en mon nom. En devenant la première femme noire à occuper une telle position dans une compagnie nationale, je pouvais faire un pas en avant pour tous les jeunes et beaux danseurs qui viendront après moi", souligne Misty Copeland dans la préface de son livre. "Je veux leur ouvrir la voie car j’espère que ça facilitera leur parcours. Je prie même pour qu’ils me surpassent car ça signifierait que leurs fardeaux ont été allégés, qu’ils peuvent entrer dans la lumière des projecteurs", revendique la danseuse qui a dû faire face aux préjugés. En les balayant d'un joli coup de pied, elle a ainsi ouvert avec grâce la porte de la danse classique à la diversité. Et ce n'était pas gagné d'avance. Une formation sur le tard Alors que la plupart des petits rats intègrent de prestigieuses écoles dès l'âge de raison, l’étincelante danseuse américaine n'avait, avant ses treize ans, jamais mis les pieds dans une salle de danse. La seule musique susceptible de la faire bouger à l'époque n'était pas celle de Tchaïkovski, mais celle de Mariah Carrey. La sportive qui la fait rêver est Nadia Comaneci, la gymnaste parfaite, pas Sylvie Guillem, la danseuse étoile française. Grâce à la persévérance de sa professeur Cindy, elle se prend finalement de passion pour la danse classique. Et c'est désormais la carrière de Paloma Herrera, nommée danseuse étoile à 19 ans, qui fait rêver Misty Copeland. Un rêve a priori inaccessible lorsqu'on chausse ses premiers chaussons à 13 ans. D'ailleurs, nombreux sont ceux qui ont estimé que sa formation tardive ne pourrait la mener à la carrière qu'elle a aujourd'hui. Ils avaient tort. Un corps différent Parmi ceux qui n'ont pas cru en elle, il y a le très prestigieux New York City Ballet. Ils ne voulaient pas d'elle parce qu'elle était noire, lui expliqua clairement celle qui avait découvert son talent. À quinze ans alors qu'elle souhaitait effectuer un stage d'été dans les grands ballets américains, tous avaient répondu positivement à sa demande, à l'exception du ballet de George Balanchine "qui ne souhaitait même pas qu'elle concoure". Comme celle de New York, nombreuses sont les institutions qui prônent une uniformité dans le ballet. Un aspect essentiel pour certains passages de ballet comme le célèbre pas de quatre du Lac des Cygnes, où chaque danseuse ne doit former qu'une avec sa voisine. Et il faut croire que selon certains de ces célèbres établissements, la couleur de peau ne permet pas cette uniformité. Une exigence d'autant plus regrettable lorsqu'il s'agit d'être étoile, un danseur unique, aux mouvements personnels. Dans ce rôle la différence est un atout. En 2015, Misty Copeland a prouvé à tous ses détracteurs qu'ils avaient eu tort, en interprétant Odette, le cygne qui redevient femme dès la nuit tombée. Le pas de quatre du Lac des cygnes par le ballet du Bolchoï Au-delà de la couleur de peau, d'autres caractéristiques physiques sont souvent demandées par ces prestigieuses institutions. La forme des hanches qui permet une ouverture plus ou moins grande, une silhouette longiligne, un long cou, de grands bras... Des attributs obligatoires selon eux, qui ont brisé bon nombre de rêves. Pourtant, encore une fois, en un tour de pirouette, Misty Copeland a fait disparaître ces exigences vieillottes. Avec ses 1m57, sa poitrine largement plus conséquente que celle de ses partenaires du même niveau, et son corps, à première vue plus proche de celui d'une gymnaste que d'une danseuse étoile, la ballerine a imposé sa différence. Un milieu modeste Élevée par sa mère, accompagnée de ses cinq frères et sœurs, Misty Copeland a été bringuebalée de maisons en motels, suivant le chemin des amants, maris ou compagnons de celle qui l'a mise au monde. Pas tout à fait le milieu doré et rigoureux de l'Opéra. D'abord timide vis-à-vis de la danse, elle va petit à petit éclore à la façon d'un Billy Elliot. Contrairement à la plupart de ses camarades de scène, elle n'a pas été biberonnée à l'éducation de l'histoire du ballet, primordiale pour les danseurs, mais s'est plongée avec envie dans ces histoires lorsque cela fût nécessaire. Un retard facilement rattrapé. Un obstacle de plus abattu. Son parcours, semé d’embûches, a aussi fait d'elle l'étoile qu'elle est aujourd'hui. Pourtant, dès le départ cette vie lui semblait destinée. La silhouette de Misty Copeland est très proche de celle de La petite danseuse, sculptée par Edgar Degas en 1881. Elle ressemble aussi beaucoup à la ballerine parfaite selon le chorégraphe russe George Balanchine "Une petite tête, des épaules tombantes, de longues jambes, de grands pieds et une cage thoracique étroite". Ironie de l'histoire, c'est le New York City Ballet qu'il créa, qui ne prit pas la peine de lever le rideau des préjugés. " La Petite Danseuse de quatorze ans", d'Edgar Degas » À voir également sur Le HuffPost Dan
Ungala sans précédent a lancé la première saison que le plus américain des danseurs français, formé au New York City Ballet, a programmée. Et Le Ballet de l'Opéra de Paris dévoile sa saison 2015-2016 le 4 février. Une saison toute particulière, puisque c'est la première signée par Benjamin Millepied, le nouveau Directeur de la Danse. Plus généralement, c'est une nouvelle étape pour l'institution, puisqu'il s'agit aussi de la première saison de Stéphane Lissner, nouveau directeur de l'Opéra de Paris. La saison en quelques chiffres et idées Cette nouvelle saison marque le début d'un cycle de six ans, construit par Stéphane Lissner et Benjamin Millepied. Trois idées portent cette première année l'unité entre opéra et danse avec des projets communs, l'ambition avec la venue de grands noms internationaux et l'équilibre artistique du baroque au contemporain. Pour la danse, cette saison 2015-2016 sera marquée par la nouveauté, avec pas moins de neuf entrées au répertoire et créations, majoritairement venues de la danse anglo-saxonne. Pour Benjamin Millepied, tout ses choix se sont fait en rapport avec la musique. "Je veux mettre l'art chorégraphique à la hauteur des partitions choisies. L'idée n'est pas d'illustrer la musique mais de faire entendre des choses nouvelles". Le Ballet de l'Opéra de Paris et l'École de Danse danseront 14 séries pour 164 représentations 118 au Palais Garnier + 46 à l’Opéra Bastille, ainsi que 12 représentations d'une soirée mêlant opéra et danse Casse-Noisette, voir ci-dessous, 12 représentations dans les espaces publics Boris Charmatz, voir ci-dessous et 3 représentations en province voir ci-dessous. Seules deux femmes chorégraphes sont programmées. Le gala d'ouverture Comme c'est la tradition dans les compagnies américaines d'où vient Benjamin Millepied, la saison 2015-2016 du Ballet de l'Opéra de Paris démarrera avec un gala, le 24 septembre. La soirée démarrera avec le Défilé du Ballet, qui stupeur ne sera pas dansé sur la musique de Berlioz, mais sur Richard Wagner la musique de base du Défilé en fait, avant qu'elle ne soit remplacée par Berlioz. Le programme sera composé de Thème et Variations de George Balanchine qui n'a pas été dansé depuis 20 ans par le Ballet de l'Opéra de Paris et une nouvelle création de Benjamin Millepied. Les places ne seront vendues que par l'AROP, à des prix surtaxés. Ce sera la seule occasion de la saison de voir le Défilé. Le 24 septembre 2015 au Palais Garnier. Orchestre de l’Opéra national de Paris, direction musicale Philippe Jordan et Maxime Pascal. Casse-Noisette - Soirée opéra/danse Stéphane Lissner et Benjamin Millepied ont très vite indiqué qu'ils voulaient monter des soirées mêlant l'opéra et la danse. Ce sera chose faite avec cette série où sera joué chaque soir deux oeuvres de Tchaïkovski l'opéra Iolanta et le ballet Casse-Noisette, comme lors de leur création en 1892. Ce dernier ballet sera une création, partagée entre cinq chorégraphes, qui travailleront chacun sur un passage précis Sidi Larbi Cherkaoui, Edouard Lock, Arthur Pita, Liam Scarlett et... Benjamin Millepied, qui s'occupera de la Valse des Fleurs et du Grand pas de deux. La soirée se fera autour du du metteur en scène Dmitri Tcherniakov et du chef Alain Altinoglu. Pas sûr que cette version mixte de Casse-Noisette rentre dans les annales. L'idée est en tout cas originale, tout comme la soirée qui mélange les genres. Du 9 mars au 8 avril 2016 avant-première le 7 mars, treize représentations au Palais Garnier. Orchestre et Choeurs de l'Opéra national de Paris, direction musicale Alain Altinoglu et Marius Stieghorst le 1er avril. Soirée William Forsythe, nouveau chorégraphe associé au Ballet de l’Opéra de Paris Trois ballets Approximate Sonata nouvelle version, une création mondiale et Of any if and entrée au répertoire. On pensait William Forsythe à la retraite, il devient chorégraphe associé au Ballet de l’Opéra de Paris ce qui laisse donc penser à d'autres créations dans les saisons à venir. Il participera également activement à l’Académie chorégraphique que lance Benjamin Millepied en septembre 2015. La soirée sera composée d'une nouvelle version d'Approximate Sonata, de l'entrée au répertoire d'Of any if and créé en 1995 pour le Ballet de Francfort et d'une création mondiale. Cette dernière devrait être "un hommage au romantisme et à l'art du ballet, sur pointes", selon Benjamin Millepied. William Forsythe et l'Opéra de Paris, c'est une association qui fait des merveilles à chaque fois, le chorégraphe poussant la technique classique des danseur-se-s au bout. À ne pas rater. Du 4 au 16 juillet 2016, onze représentations au Palais Garnier. Musique enregistrée. Approximate Sonata de William Forsythe - Isabelle Ciaravola et Mathieu Ganio Soirée Robbins/Millepied/Balanchine Trois ballets Thème et Variations de George Balanchine, Opus 19/The Dreamer de Jerome Robbin et une création mondiale de Benjamin Millepied. La saison démarrera vraiment avec cette soirée mixte on ne peut plus américaine, qui peut être une vraie réussite si les ballets sont remontés avec soin. Au programme, la reprise du superbe ballet de George Balanchine Thème et Variations, basée sur la technique classique virtuose et mettant aussi bien en avant le corps de ballet que les Étoiles. Opus 19/The Dreamer de Jerome Robbins fera son entrée au répertoire, ballet plus méconnu du public français. Enfin Benjamin Millepied proposera une création mondiale on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même. Cette création sera un travail avec les jeunes du corps de ballet. Du 25 septembre au 11 octobre 2015 avant-première le 22 septembre, douze représentations au Palais Garnier. Orchestre de l’Opéra national de Paris, direction musicale Maxime Pascal. Soirée Pierre Boulez Trois ballets Polyphonia de Christopher Wheeldon, une création de Wayne McGregor et Le Sacre du Printemps de Pina Bausch. Il ne s'agit pas forcément d'une soirée sur des musiques de Pierre Boulez, mais aussi sur des partitions qu'a dirigé avec brio le compositeur Ligeti pour Polyphonia, Stravinsky pour Le Sacre et Boulez lui-même pour la création de Wayne McGregor. Christopher Wheeldon est dansé un peu partout dans le monde, Polyphonia en particulier. Cela correspondra-t-il à la façon de danser de la troupe parisienne ? À voir en scène. Wayne McGregor a toujours été inspiré par l'Opéra de Paris, en tout cas pour Genius. Son style extrême se mélange bien aux capacités physiques des artistes parisien-ne-s. À noter qu'une autre de ses créations sera attendue en 2017, avec des solistes de Paris et de la troupe du chorégraphe. Enfin Le Sacre du Printemps de Pina Bausch, chef-d'oeuvre, magnifiquement interprété à Garnier. Une belle soirée mettant en valeur différentes facettes de la danse d'aujourd'hui. Du 3 au 31 décembre 2015 avant-première le 1er décembre, 18 représentations au Palais Garnier. Orchestre de l’Opéra national de Paris, direction musicale Vello Pähn. Polyphonia de Christopher Wheeldon New York City Ballet Soirée Anne Teresa De Keersmaeker Trois ballets trois entrées au répertoire Quatuor n°4, Die grosse Fuge et Verklärte Nacht d'Anne Teresa De Keersmaeker. Question Benjamin Millepied a-t-il vu la reprise de Rain avant de programmer cette soirée ? Anne Teresa De Keersmaeker est une chorégraphe géniale, mais rien n'est moins sûr qu'elle convienne vraiment aux artistes du Ballet de l'Opéra de Paris. Un programme qui laisse donc perplexe, pas par l'intérêt des oeuvres, mais parce que cette collaboration n'a jusqu'alors pas vraiment séduit. La soirée sera en tout cas musicalement riche, entre Bartók, Beethoven et Schönberg pour Verklärte Nacht, qui s'inscrit dans une programmation opéra/danse autour du compositeur. Du 22 octobre au 8 novembre 2015 avant-première le 21 octobre, quinze représentations au Palais Garnier. Orchestre de l’Opéra national de Paris. Les créations et entrées au répertoire De nombreuses soirées mixtes devraient émailler la saison, avec plusieurs entrées au répertoire et créations. "L'enjeu, c'est l'avancement du ballet, créer des ballets de notre temps", explique Benjamin Millepied. Jérôme Bel proposera ainsi une nouvelle création, après son oeuvre Véronique Doisneau il y a dix ans que Benjamin Millepied avait beaucoup apprécié. Justin Peck créera aussi un nouveau ballet, sur le Concerto pour deux pianos et orchestre en ré mineur de Francis Poulenc. Le jeune chorégraphe, venant tout droit du New York City Ballet, proposera aussi une entrée au répertoire de sa pièce In Creases, créée en 2012 pour sa troupe américaine. En plus de Opus 19/The Dreamer, Les Variations Goldberg de Jerome Robbins fera aussi son entrée au répertoire, tout comme deux ballets de George Balanchine Duo concertant et Brahms-Schönberg Quartet. Alexei Ratmansky sera aussi de retour avec son ballet Seven Sonatas, créé pour l'ABT en 2009. La troupe fera entrer à son répertoire Les Applaudissements ne se mangent pas de Maguy Marin. Ce choix de nombreuses soirées mixtes a été fait pour mettre toutes les Étoiles en valeur. "Les ballets de Balanchine et Robbins vont stimuler la technique. C'est important d'avoir beaucoup de ballets sur pointes", explique Benjamin Millepied Soirée Bel/Robbins - Une création de Jérôme Bel et Les Variations Goldberg de Jérôme Robbins - Du 5 au 20 février 2016, quatorze représentations au Palais Garnier. Soirée Ratmansky/Balanchine/Robbins/Peck - Seven Sonatas d'Alexeï Ratmansky, Duo concertant de George Balanchine, Other Dances de Jerome Robbins et In Creases de Justin Peck - Du 24 mars au 5 avril 2016 avant-première le 22 mars, sept représentations au Palais Garnier. Les Applaudissements ne se mangent pas de Maguy Marin - Du 25 avril au 3 mai 2016, huit représentations au Palais Garnier. Soirée Peck/Balanchine - Une création de Justin Peck et Brahms-Schönberg Quartet de George Balanchine - Du 2 au 15 juillet 2016, sept représentations à l'Opéra Bastille. La Bayadère de Rudolf Noureev La Bayadère de Rudolf Noureev a quelque chose dont on ne se lasse pas. Un beau trio de personnages, une Idole dorée qui brille, pleins de seconds rôles, un troisième acte blanc... Le tout dans une production somptueuse qui a bien vieilli, et une chorégraphie pas trop tarabiscotée. La nouvelle génération d'Étoile devrait y briller, avec pourquoi pas une invitée ? Du 17 novembre au 31 décembre 2015, 23 représentations à l'Opéra Bastille. Orchestre Colonne, direction musicale Fayçal Karoui. La Bayadère - Aurélie Dupont et Josua Hoffalt Roméo et Juliette de Rudolf Noureev Certains ballets de Rudolf Noureev ont mal vieilli. Roméo et Juliette ne fait pas partie de ceux-là. Au contraire, c'est peut-être l'oeuvre du danseur qui a le mieux passé le temps, portée par une mise en scène géniale. Le drame au coeur entre deux familles qui se déchirent, on ne s'en lasse pas. Beaucoup d'Étoiles devraient y faire leur prise de rôle, ou l'approfondir après l'avoir encore peu dansé. Une série excitante, un grand classique à voir. Du 19 mars au 16 avril 2016, quinze représentations à l'Opéra Bastille. Orchestre de l’Opéra national de Paris, direction musicale Simon Hewett. Giselle de Jean Coralli et Jules Perrot Six ans que le public français n'avait pas eu le droit à sa Giselle, oeuvre si symbolique de la danse française. Beaucoup donné en tournée, le ballet ne s'était pas arrêté à Garnier depuis longtemps, et il est attendu de pied ferme. Une histoire universelle, le romantisme, le monde des Willis... Giselle fait partie de ces ballets intemporels qui se regardent avec toujours autant d'émerveillement. Là encore, plusieurs prises de rôle sont à attendre. Ou pourquoi pas une dernière Giselle de Laëtitia Pujol, dont c'est le rôle-phare ? Du 28 mai au 14 juin 2016, avant-première le 27 mai, quatorze représentations au Palais Garnier. Orchestre des Lauréats du CNSMDP, direction musicale Koen Kessels. 20 danseurs pour le XXème siècle de Boris Charmatz Boris Charmatz, jeune chorégraphe français, crée une pièce particulière pour le Ballet de l'Opéra de Paris. Elle sera présentée dans les espaces publics du Palais Garnier. Le public la découvrira au fil de ses déambulations dans le Foyer ou le grand escalier. personnes par soir pourront y assister, au tarif unique de 15 euros. Question style, Boris Charmatz se situe plus dans une veine de la "non-danse". Personnellement, ses créations m'ont très peu intéressée, mais ce contexte de représentations au Palais Garnier est très différent. Du 22 septembre au 11 octobre 2015, 13 représentations de 18 h à 19 h 30 dans les espaces publics du Palais Garnier. L'École de Danse de l'Opéra de Paris Les Démonstrations de l'École de Danse de l'Opéra de Paris auront lieu les 5, 13 et 20 décembre 2015, au Palais Garnier. Le spectacle aura lieu du 14 au 28 avril 2016 au Palais Garnier, pour quatre représentations Orchestre des Lauréats du CNSMDP, direction musicale Guillermo García Calvo. Les élèves danseront Conservatoire d'Auguste Bournonville, Les Forains de Roland Petit et Piège de lumière de John Taras. Un programme très "école française", plutôt en contraste avec la programmation de la compagnie. Mais ces trois ballets font partie des classiques de l'École de Danse. Les tournées Pour l'instant, seule une tournée du Ballet de l'Opéra de Paris est annoncée au Quartz de Brest les 11, 12 et 13 mai 2015, avec le programme Ratmansky/Balanchine/Robbins/Peck. L'ouverture à la province est donc pour l'instant limitée, mais les tournée en France devraient se développer et avoir lieu chaque année. Aucune tournée internationale n'est annoncées pour la saison prochaine. La compagnie devrait se rendre au Japon en 2017 et aux Etats-Unis en 2018. Les compagnies invitées Trois compagnies étrangères sont invitées pour la saison 2015-2016. L'English National Ballet fera un détour par le Palais Garnier, avec son ballet Le Corsaire. Et qui dit English National Ballet dit sûrement Alina Cojocaru, Prima Ballerina très appréciée du public. Rosas d'Anne Teresa De Keersmaeker donnera des représentations présentées au Centre Pompidou. Enfin la Batsheva Dance Company présentera un spectacle. Le choix paraît un peu étrange pour ces deux dernières, habituées des théâtres parisiens. Pas sûr que le public soit prêt à payer une place 3 à 4 fois plus cher pour voir ces compagnies quand elles passent régulièrement au Théâtre de la Ville pour 30 euros. Batsheva Dance Company - Three d'Ohad Naharin - Du 5 au 9 janvier 2016, six représentations au Palais Garnier musique enregistrée. Rosas - Work d'Anne Teresa de Keersmaeker - Du 26 février au 5 mars 2016, neuf représentations/expositions au Centre Georges Pompidou. English National Ballet - Le Corsaire d'Anne-Marie Holmes - Du 21 au 25 juin 2016, six représentations au Palais Garnier. Le Corsaire - English National Ballet Les prix Les prix des catégories 4 à 6 ne changent pas, avec les fluctuations établies en fonction du jour pour la quatrième. Les catégories supérieures sont par contre augmentés. Certaines places optima grimpent à 154 euros, la première catégorie à 132 contre 92 euros il y a encore quelques années, la deuxième catégorie tourne autour de 90 euros. La catégorie 3, normalement à 45 euros, passe selon les spectacles à 60 euros. Le record est atteint pour Giselle, où la place Optima est à 165 euros une place d'orchestre voit donc son prix doubler en quatre ans, la catégorie 3 est à 72 euros le prix d'une catégorie 2 l'année dernière. Un vrai paradoxe pour une direction qui se défend de vouloir toucher un plus large public. À Bastille pour La Bayadère et Roméo et Juliette, les catégories Optima à 3 augmentent d'une dizaine d'euros. La place la plus chère atteint ainsi 154 euros contre 130 cette saison. La catégorie 3 peut monter jusqu'à 77 euros contre 65 actuellement. Quelques places changent aussi de catégorie. À Garnier, plus de places d'orchestre passent de la catégorie 1 à Optima tout le devant. Par contre, les places au fond sur les côtés passent de la catégorie 1 à 2. Les premiers rangs des grandes premières loges passent en Optima, quelques places au fond des premières loges passent de catégorie 4 à 3. Pas de changement à Bastille. Communications et innovations Les avant-premières jeunes Sur le modèle de la Scala de Milan, l'Opéra de Paris lance la saison prochaine les avant-premières jeunes. Pour 13 spectacles, une représentation sera prévue avant la première officielle, ouvert aux jeunes de moins de 28 ans pour 10 euros la place. Pour la danse cela concerne les spectacles Iolanta/Casse-Noisette, Boris Charmatz, Robbins/Millepied/Balanchine, Anne Teresa de Keersmaeker, Wheeldon/McGregor/Bausch, Ratmansky/Balanchine/Robbins/Peck et Giselle. Les Concertini Dans les espaces publics du Palais Garnier et de l’Opéra Bastille, un mini-concert de 30 minutes sera proposé avant le début des représentations pour huit spectacles de la saison. Pour la danse, cela concerne Iolanta/Casse-Noisette, Anne Teresa de Keersmaeker et Wheeldon/McGregor/Bausch. Des musiciens de l’Orchestre de l’Opéra national de Paris offriront de petits concerts mettant à l’honneur le compositeur de la soirée. La plateforme numérique la 3ème scène En septembre 2015, l'Opéra de Paris va lancer 3ème scène, une plateforme numérique destinée à la création. Elle accueillera des productions commandées par l’Opéra à des cinéastes, des chorégraphes, des photographes, des plasticiens et des écrivains, mais aussi des archives et des programmes pédagogiques. Dès le 4 février, 17 films de Benjamin Millepied, sur les17 Étoiles de la Maison, seront en ligne. Retransmission au cinéma Le partenariat entre l'Opéra de Paris et UGC continue. Mais la présence de la danse reste faible. Seules deux soirées seront ainsi diffusées au cinéma le programme Robbins/Millepied/Balanchine et Iolanta/Casse-Noisette. Que penser de cette saison 2015-2016 ? Benjamin Millepied avait dit "L'important, c'est le classique". C'est surtout le néo-classique au vu de la programmation, très new-yorkaise. Mais les nouveautés font plutôt envie. Wheeldon, Ratmansky, Peck... Aujourd'hui, toutes les compagnies du monde dansent ces chorégraphes. Les choisir n'est pas vraiment d'une grande originalité. Mais ils sont doués, ont des idées, et leur travail peut donner un coup de fouet à une compagnie qui s'endort un peu. On peut toutefois regretter que, mis à part Giselle, la danse typiquement française n'est pas représentée. Pas de Serge Lifar, de Roland Petit, de Maurice Béjart, de Pierre Lacotte. Pas de jeunes talent non plus, ni même de Mats Ek ou Jiří Kylián qui ont façonné le récent répertoire de l'Opéra de Paris. À l'heure ou la danse a tendance à se ressembler aux quatre coins du monde, aux écoles à perdre de leurs spécificités, c'est dommage. L'impression qui reste est que Benjamin Millepied a un peu construit cette saison à l'aveugle, sans vraiment connaître la troupe comme tout s'est programmé il y a un an, c'est probablement le cas. Il a donc pioché dans ce qu'il connaît et ses coups de coeur, quitte à se répèter parce que deux nouveaux Robbins, deux nouveaux Balanchine et deux Peck la même saison, c'est un peu tirer sur les mêmes ficelles. En soi, ce vent de nouveautés est séduisant. La troupe a besoin d'un nouveau souffle, les programmes sont bien construits, en pensant d'abord à la musique. Le public va arriver à se passer de Roland Petit pendant une saison. Et cet esprit anglo-saxo pourrait bien fonctionner avec les danseurs et danseuses de la compagnie parisienne. Reste que si les six saisons prochaines sont dans la même veine, le Ballet de l'Opéra de Paris risque de se transformer en annexe du NYCB. Et vous, que pensez-vous de cette saison 2014-2015 du Ballet de l'Opéra de Paris ?

Traductionsen contexte de "Les danseuses étoiles" en français-anglais avec Reverso Context : Car voilà 300 ans que les danseuses étoiles nous font rêver à l'Opéra de Paris. Traduction Correcteur Synonymes Conjugaison

Le 30 septembre, le New York City Ballet NYCB présentera son gala annuel de la mode d’automne, célébrant la chorégraphie et la conception de costumes avec deux œuvres en première mondiale mettant en vedette certains des artistes les plus passionnants du monde de la danse et de la neuvième édition du gala annuel de la mode d’automne de la compagnie mettra en vedette des ballets en première mondiale de Sidra Bell et Andrea Miller, qui réalisent toutes deux leurs toutes premières œuvres pour la scène au NYCB, après leurs commandes d’automne 2020 pour la saison d’automne numérique de la Miller. photo parAnne-Michele fondateur de Sidra Bell Dance New York, collaborera avec le designer de Brooklyn Christopher John Rogers pour sa première au gala d’automne. Miller, directeur artistique, chorégraphe et fondateur de la compagnie GALLIM basée à Brooklyn, travaillera avec le designer colombo-américain basé à Paris Esteban par la vice-présidente du conseil d’administration de NYCB, Sarah Jessica Parker, et lancé en 2012, avec un gala de célébration du légendaire créateur Valentino, le Gala de la mode d’automne de NYCB a depuis présenté des costumes conçus par Virgil Abloh de Off-WhiteTM, Rosie Assoulin, Thom Browne, Sarah Burton pour Alexander McQueen, Tsumori Chisato, Peter Copping pour Oscar de la Renta, Giles Deacon, Alberta Ferretti, Fernando Garcia et Laura Kim de MONSE et Oscar de la Renta, Prabal Gurung, Carolina Herrera, Mary Katrantzou, Humberto Leon de Opening Ceremony et Kenzo , Hanako Maeda de l’ADEAM, Marta Marques et Paulo Almeida de Marques’Almeida, Zuhair Murad, Zac Posen, Gareth Pugh, Narciso Rodriguez, Jonathan Saunders, Anna Sui, Olivier Theyskens, Iris van Herpen, Dries Van Noten et Jason Wu. Tous les designs ont été créés en interne au NYCB Costume Shop en collaboration avec les designers et le directeur des costumes de NYCB, Marc la création du premier Fall Fashion Gala en 2012, l’événement annuel a permis de récolter plus de 20 millions de dollars pour NYCB. Les présidents de la neuvième édition de l’événement comprendront Parker et les coprésidents Claire Danes et Hugh Dancy, Diane Kruger, Mazdack et Zanna Rassi, Deborah Roberts et Al Roker, et Jordan Bell. Photo de DavidFlores est la fondatrice de Sidra Bell Dance New York et une chorégraphe et éducatrice qui est actuellement maître de conférences à l’Université des arts de Philadelphie, maître de conférences à SUNY Purchase, professeur auxiliaire à l’Université Drexel et professeur auxiliaire à la Ball State University dans l’Indiana . Elle a été artiste en résidence à l’Université Harvard et professeure auxiliaire à la Georgian Court University, au Marymount Manhattan College et au Barnard College. Bell a obtenu un baccalauréat en histoire de l’Université de Yale et une maîtrise en chorégraphie du Purchase College Conservatory of Dance. Elle est la fondatrice et la directrice créative du laboratoire primé MODULE, une plate-forme immersive basée à New York pour les artistes du mouvement et du a remporté plusieurs prix, notamment un premier prix de chorégraphie au festival de théâtre Solo Tanz à Stuttgart, en Allemagne, et un prix national de production de projet de danse de la New England Foundation for the Arts. Son travail a été vu à travers les États-Unis et au Danemark, en France, en Autriche, en Bulgarie, en Turquie, en Slovénie, en Suède, en Allemagne, en Chine, au Canada, à Aruba, en Corée, au Brésil et en Grèce. Elle a créé plus de 100 œuvres notamment pour BODYTRAFFIC, Ailey II, The Juilliard School, Whim W’Him, Boston Conservatory at Berklee College, River North Dance Chicago, NYU Tisch School of the Arts, Sacramento Ballet, Ballet Austin, Springboard Danse Montréal et L’école de ballet LINES d’Alonzo King, entre John qui concevra des costumes pour le travail de Bell en 2021, est né et a grandi à Baton Rouge, en Louisiane, Rogers a été encouragé à poursuivre les arts dès son plus jeune âge, obsédé également par l’anime et les œuvres de Gauguin. Son incursion dans le design a commencé par créer des costumes pour des personnages de bandes dessinées, en utilisant des tissus ou des sacs poubelle au hasard, en les drapant sur une forme et en faisant tout ce qu’il pouvait pour donner vie à sa vision. C’est ce sens inné de l’expérimentation qui a façonné son processus de conception. Il a également passé de nombreux dimanches dans les bancs d’une église baptiste, impressionné par l’attention portée aux détails dans les ensembles de laine de soie coordonnés de manière monochrome, avec des chapeaux, des bas et des gants à plumes, qui ont inspiré sa décision de devenir créateur de a lancé la marque CJR avec sa collection de thèses senior au Savannah College of Art and Design. Au cours des cinq années qui ont suivi, la marque a été placée dans les éditions américaine, britannique et française de Vogue, Elle et iD, et a été portée par des célébrités et des personnalités publiques, dont la vice-présidente Kamala Harris, la première dame Michelle Obama, Lady Gaga. , Rihanna, Tracee Ellis Ross, Dua Lipa, Gabrielle Union, Tessa Thompson, Lizzo et est le récipiendaire du CFDA Fashion Award 2020 pour le créateur émergent de l’année et le lauréat 2019 du CFDA/Vogue Fashion est le fondateur et directeur artistique de la société new-yorkaise GALLIM. Créatrice et collaboratrice recherchée pour le théâtre, le cinéma et les œuvres de terrain, Miller explore les éléments essentiels du comportement humain et de la motivation dans son travail. Les danses très acclamées de Miller sont interprétées par GALLIM ainsi que par d’autres grandes compagnies de danse, dont NYCB, Martha Graham Dance Company, Ballet Hispánico, Ballet Bern, AIM, Ailey II, Nederlands Dans Theater 2, Rambert 2 et Grace Farms, et elle a également a créé des films pour Art Basel, The Guggenheim Museum, Northrop à l’Université du Minnesota et membre du Guggenheim et premier chorégraphe à être nommé artiste en résidence au Metropolitan Museum of Art, a conçu des programmes GALLIM uniques pour soutenir et éduquer la communauté et est également professeur auxiliaire au Barnard and Marymount Manhattan College, ainsi qu’un professeur invité et conférencier à Harvard, The Juilliard School, NYU, Sarah Lawrence, Wesleyan et UofArts, entre de la Juilliard School et mère de deux enfants, Miller a également reçu des bourses de Sadler’s Wells, du New York City Center et de la Princess Grace Foundation, et a collaboré avec des marques de mode telles que Hermès, SportsMax, KSwiss, Lacoste, Target et Calvin Klein. Miller a récemment conçu, co-dirigé et chorégraphié Tu es là, une installation de sculpture, de son et de performance commandée par le Lincoln Center for the Performing Arts qui intègre les 13 membres du campus du Lincoln Center et des organisations artistiques de New York, et ouvrira ses portes en qui concevra les costumes du nouveau ballet Miller, était, à 17 ans, le plus jeune créateur à présenter à la Fashion Week de New York et est maintenant basé à Paris, et est connu pour ses créations vives, combinant des mouvements latins et la culture avec le français savoir-faire, qu’il résume sous le titre Paris Latino ».Né à Bogotá, en Colombie, Cortázar a commencé sa carrière dans la mode à Miami, à l’âge de 16 ans, et peu de temps après, il a lancé sa première collection à New York en 2002. En 2007, Cortázar a déménagé à Paris pour diriger la maison Emanuel Ungaro. En 2012, Natalie Massanet a approché Cortázar pour créer une série de collections capsules pour Net-a-Porter. Ce processus a inauguré la relance de sa marque éponyme basée à Paris en par Vogue comme l’exposition de créateurs la plus décomplexée de Paris », les collections de Cortázar ont été trouvées dans les plus prestigieux détaillants en ligne, grands magasins et boutiques de luxe, dont Colette, Barneys, Le Bon Marché, Browns, Farfetch, Net- a-Porter et Matches, entre habitués de ses créations varient de Cate Blanchett à J Balvin, Rosalía, Beyoncé, Rihanna et Queen Rania. Cortázar a récemment été nommé par le président de la Colombie ambassadeur officiel des arts dans le pays. On le trouve entre Paris, Carthagène des Indes, Miami, New York ou Ibiza, les lieux qui l’ont façonné à la fois en tant que personne et en tant que créateur de mode renommé qu’il est aujourd’ plus d’informations sur le gala de la mode d’automne 2021 du New York City Ballet, visitez Andrea Miller, chorégraphes, Christopher John Rogers, conception de costumes de danse, costumes de danse, mode de danse, Esteban Cortázar, créateurs de mode, GALLIM, Homepage Top Heading, Marc Happel, New York City Ballet, NYCB Fall Fashion Gala, Sarah Jessica Parker, Sidra Bell , Sidra Bell Dance New York
BalletBlack is a professional ballet company for international dancers of black and Asian descent. Guillaume Côté, danseur étoile et chorégraphe associé du Ballet national du Canada, a publié une image de sa nouvelle acquisition, essayée par ses enfants. Palais Garnier. Publié le 19/11/2009 à 1118 Le danseur et chorégraphe français Benjamin Millepied est devenu en peu de temps l'une des vedettes internationales du ballet classique. Étoile du New York City Ballet, il a déjà chorégraphié deux pièces pour le Ballet de l'Opéra de Paris. Le spectacle qu'il présente à Odyssud les 24 et 25 novembre réunit groupe de danseurs solistes de l'American Ballet Théâtre dans un programme virtuose le Duo Concertant » de Balanchine, où la musique de Stravinski ne fait qu'un avec les pas et les gestes, le brillant Steptext » de Forsythe, qui voit s'affronter quatre danseurs et brise les codes du ballet classique, et, Without », création de Benjamin Millepied en hommage à Jérôme Robbins. Cette dernière pièce est traversée de superbes pas de deux. D'une maîtrise technique de haut vol, l'ensemble du spectacle offre une belle synthèse entre ballet classique et langages contemporains. Odyssud à Blagnac les 24 et 25 novembre à 21 heures Tél. 05 61 71 75 15. Infos Pratiques Date 24 nov. au 25 nov. Pumapartenaire officiel du New York City Ballet. by Frédérique de Granvilliers. La marque de sport internationale a annoncé ce 28 juin 2016 la signature d’un partenariat officiel avec le NYCB, l’une des plus importantes compagnies de danse au monde. Elle fournira des tenues de sport pour les entraînements et répétitions. Une nouvelle alliance qui vient renforcer En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Ballet George Balanchine Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 Béatrice Matet / VOZ'Image Voir toutes les informations George Balanchine Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Réserver En vente le 20 septembre 2022 à 12h00 Réserver Palais Garnier - du 06 février au 10 mars 2023 Avant-première Jeunes 6 fév. 2023Première 8 fév. 2023 À propos En quelques mots Créé en 1970 par le New York City Ballet, Who Cares? est composé d’une suite de danses sur des chansons de George Gershwin – parmi lesquels le standard » qui a donné son nom à la pièce et I Got Rythm – avec pour toile de fond la silhouette des gratte‑ciels de Manhattan. Who Cares? réunit un ensemble de danseurs en diverses formations auxquels succèdent quatre solistes. Tous se retrouvent dans un final enjoué dans lequel Balanchine souhaitait montrer le génie musical et la beauté mélodique de Gershwin à travers la danse classique. Hommage à la grandeur de la Russie impériale, Ballet impérial a été créé en 1941 par l’American Ballet Caravan sur le Concerto pour piano n° 2 de Tchaïkovski. George Balanchine y célèbre de manière brillante la virtuosité technique du ballet académique dans le style de Petipa – son père spirituel » – et de la grande tradition de Saint‑Pétersbourg. Ouverture Première partie 40 mn Entracte 20 mn Deuxième partie 45 mn Fin Ballet Impérial Musique Piotr Ilyitch Tchaïkovski - 1840‑1893 Direction musicale Mikhaïl Agrest Who Cares ? Musique George Gershwin - 1898‑1937 Direction musicale Mikhaïl Agrest Adaptation et orchestration Hersy Kay Représentations Disponible en audiodescription Avantages tarifaires Plus de places disponibles actuellement Disponible en audiodescription Avantages tarifaires Plus de places disponibles actuellement Retrouver ce spectacle dans les abonnements suivants Abonnement libre -5 à -10% À partir de 4 spectacles au choix parmi toute la programmation Réductions sur une sélection de catégories En savoir plus Abonnement jeunes 66 € 2 opéras + 1 ballet Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Abonnement jeunes 57 € 2 ballets + 1 opéra Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Abonnement jeunes 48 € 3 ballets à 48 € Réservés aux spectateurs de moins de 28 ans en 4e catégorie au Palais Garnier et en 7 e ou 8e catégorie à l’Opéra Bastille. En savoir plus Mécènes et partenaires Avec le soutien de The American Friends of the Paris Opera & Ballet Mécène du rayonnement de l'Opéra Partenaire de la Soirée Balanchine Surles toits de Clichy, on y danse L'artiste contemporain JR est revenu à Clichy-sous-Bois pour réaliser, avec une danseuse du New York City Ballet, un film sur les émeutes de 2005 en banlieue. À l’aube de cette saison, l’ex-chorégraphe star du New York City Ballet, photographié par Jean-Baptiste Mondino, nous raconte son French la nomination de Benjamin Millepied au poste de directeur-chorégraphe du Ballet de l'Opéra de Paris, c'est un peu du glamour à l'américaine qui rencontre le Roi-Soleil - fondateur en 1661 de l'Académie royale de danse, dont la mission fut de codifier l'art chorégraphique. Étoile du New York City Ballet, interprète de Balanchine - le "nuage en pantalon" -, protégé de Jerome Robbins et de Barychnikov, mari de l'actrice Natalie Portman, rencontrée sur le film Black Swan, dont il était le conseiller ès entrechats, Millepied a fait sien le slogan Go West, young man, mais il est aujourd'hui de retour, heureux dans sa minuscule loge-bureau du palais Garnier, pour que ça brille et que ça déménage à l'Opéra de Paris ! Il fascine la presse people, intrigue le grand public, et n'a pas que des amis dans le métier. 2015 est son année avec l'annonce de sa programmation, il sera jugé sur pièces - et sur pieds. Portrait d'un impatient découvrirSuri Cruise la petite fille gâtée d'Hollywood, ou l'histoire d'une enfant diabolisée par les médiasMille-pattes"Même sans être lacanien, comment ne pas chercher dans mon nom l'indice d'un déterminisme qui aurait orienté ma carrière ? ! Je ne suis pas le seul que cela fasse sourire mon père courait le décathlon, et ma mère enseignait la danse. Chez nous, tout est dans les pieds... et aussi, je l'espère, un peu dans la tête."Le retour en France"J'ai vécu en France jusqu'à ma seizième année, et j'ai passé plus d'années de ma vie aux États-Unis qu'ici. J'ai dû me réadapter, c'était passionnant. J'ai retrouvé mes racines, rattrapé le temps perdu. Je suis profondément français, et même bordelais ! En Amérique, j'étais français, marqué, nourri par le rapport spécifiquement européen à l'histoire, à la culture. Ça faisait une différence avec les autres danseurs, mes camarades ignoraient l'histoire de la danse, par exemple. Je me réjouis, depuis que je suis rentré, du rapport naturel, évident à la culture que l'on a ici, cela vous frappe incroyablement quand vous revenez des États-Unis."L'Afrique"J'ai passé ma petite enfance à Dakar. Je crois que la façon dont j'ai dansé dans ma carrière au New York City Ballet, ma manière de bouger dans l'espace trouvait sa source dans la liberté avec laquelle j'évoluais, enfant, sur des rythmes très complexes. À 4-5 ans, j'avais un rapport très spontané, très naturel avec la danse, la gymnastique. Je me levais, et je dansais dans la joie, pieds nus. Inoubliable."Son rôle de directeur de ballet"Je dois transmettre ma vision de la danse au ballet, c'est simple à formuler, crucial à mettre en place. Une compagnie de ballet classique a certains besoins, doit s'appuyer sur une vision spécifique de la danse en scène, du style. Si je ne faisais pas ce travail au quotidien avec les danseurs, je ne serais qu'un programmateur. Autant travailler pour un festival… Je ne conçois mon rôle que comme celui d'un répétiteur-programmateur."Benjamin MillepiedEn imagesVoir le diaporama06 photosVoir le diaporama06 photosUn ballet réussi"C'est du rythme. Les ballets de Balanchine, de Forsythe, de Jerome Robbins, c'est avant tout du rythme. Je voudrais qu'on aille plus loin dans l'apprentissage chorégraphique. Il n'y a pas d'école en France, même s'il y a des ateliers et différentes structures éducatives. Je veux aller plus loin dans l'éducation, faciliter et approfondir l'étude de l'histoire technique et artistique du ballet."Le corps"J'ai 37 ans, mais mon corps a beaucoup donné. Danser ne fait plus partie de la liste de mes envies, ma passion est morte. Mais je prends soin de moi, et j'ai entamé une réflexion autour de la santé des danseurs, de leur corps. Ça englobe tout ce qu'ils mangent, à quelle heure, comment ils prennent soin de leurs muscles, de leurs articulations. Quand je suis arrivé, j'ai fait changer les planchers. Ça a l'air idiot, mais la façon dont le plancher amortit les chocs lors des sauts et des déplacements est cruciale pour le corps du danseur. Tout compte."Brigitte Lefèvre *"Elle a fait un travail remarquable, elle a réalisé des projets uniques au monde, avec une ouverture d'esprit incroyable. Son travail m'a inspiré et continuera à le faire pour ma programmation. Que dire de plus ? Je regrette tellement toutes les polémiques, exploitées et attisées par la presse, autour de ma nomination. Je ne suis pas Laurent Hilaire, ni Manuel Legris. Elle aurait préféré un de ces deux danseurs pour lui succéder, le choix fut autre, à moi de faire mes preuves. Nous avons souffert, elle et moi, de cette année et demie de transition, c'est heureusement du passé. Brigitte et moi avons deux parcours très différents j'ai été un danseur étoile dans une compagnie de ballet pendant vingt ans chez un chorégraphe russe qui a fait carrière en Amérique, elle a arrêté la danse, ne voulait surtout pas être étoile. Brigitte appartient à l'histoire de l'Opéra, et c'est juste ainsi.""Les Chaussons rouges" de Michael Powell 1948"C'est sûrement le plus beau film de danse de l'histoire du cinéma, et un des plus beaux sur la création artistique. Depuis mon retour à Paris, malgré un emploi du temps dense entre l'Opéra et ma vie de famille il regarde fugacement le dessin d'enfant signé Aleph, son fils, épinglé sur le mur de sa loge-bureau, je vais au cinéma et je lis des essais sur l'histoire de Paris, l'urbanisme, l'architecture… En ce moment, je démarre Power. Les 48 lois du pouvoir, de Robert Greene. Je m'instruis…"Le Ballet de l'Opéra"J'ai énormément d'enthousiasme et d'ambition pour l'Opéra de Paris." Veste et t-shirt, Hermès, jean Saint Laurent par Hedi Slimane. Photo Jean-Baptiste Mondino"C'est la compagnie qui a le plus gros potentiel du monde, même si je n'aime pas ce langage compétitif. Je veux maximiser tout cela. Je place de grands espoirs dans les lauréats du concours 2014 mesdames Baulac, O'Neill, Hecquet, Viikinkoski, Visocchi, messieurs Marchand, Louvet, Kirscher, Melac, NDLR, ces jeunes danseurs si courageux qui travaillent cinq semaines comme des possédés et jouent leur avenir sur une variation de quelques minutes… Ce concours est étrange et cruel, unique dans le monde des compagnies pour décider de l'avancement des danseurs. Je ne peux pas décider seul de l'abandonner, mais je veux le faire évoluer."Place aux jeunes !"Je n'aurais pas pu endosser ce rôle avant, j'avais besoin de dix ans d'expérience dans la production, le cinéma, le spectacle. Je me sens jeune et mûr à la fois, et je sens en France ce renouvellement des générations. Des vieux trentenaires rires comme Mathieu Gallet à Radio France ou Emmanuel Macron au ministère de l'Économie ont une légitimité. On entendait souvent que la France se méfiait de la jeunesse, je vois que ça change, c'est encourageant."L'ambition"J'ai énormément d'enthousiasme et d'ambition pour l'Opéra de Paris, je suis impatient, mais je me réfrène, il faut écouter, la maison est vénérable et lourde, 1 600 personnes tout de même. La presse américaine a retenu de façon un peu schématique que je privilégiais le fundraising, l'appel aux généreux donateurs, et que c'était mon truc. La réalité, c'est que la crise économique rend le financement de la culture plus difficile, les fonds publics diminuent. Les mentalités doivent évoluer, d'autres sources de financement que les subventions de l'État ou la vente de billets sont à inventer. Mon expérience américaine me l'a montré là-bas, c'est le secteur privé qui finance la culture. Mon défi, c'est de développer l'image mondiale de l'Opéra de Paris et de faire rentrer de l'argent. Je veux faire du branding autour de l'Opéra, commercialiser intelligemment la marque Opéra, comme le fait le musée du Louvre. On est loin d'avoir exploité toutes les possibilités du numérique appliquées à l'Opéra. Il faut créer une image plus moderne via le numérique, la maximiser, et c'est un gros chantier. Après, nous aurons de nouvelles opportunités pour lever des fonds. La mentalité entrepreneuriale pose un problème en France, mais rien de nouveau au XIXe siècle, un directeur de l'Opéra avait fait fortune dans la pharmacie, et son sens du business lui fit installer les baignoires à Garnier. Idée géniale ! Vendre des places, ça ne suffit plus…"* Précédente directrice de la danse de l'Opéra de lire aussi Ballet de l'Opéra Benjamin Millepied pose sa nouvelle donneLa semaine people Natalie Portman, Johnny Depp, Pamela Anderson...Les 13 figures du classique à Paris Leballet qui complète cette belle soirée de danse est d’un autre grand compositeur français, Bizet, et d’un autre chorégraphe du New York City / Podcasts / Invité culture Publié le 13/05/2014 - 0400Modifié le 13/05/2014 - 0049 La nouvelle chorégraphie de Benjamin Millepied sur la photo Daphnis et Chloé» est donnée à l'Opéra Bastille jusqu'au 10 juin AFP/MARTIN BUREAU A 36 ans, Benjamin Millepied, l'ancien danseur étoile du New York City Ballet, prendra la direction de la danse à l'Opéra de Paris, en novembre prochain. Son actualité aujourd'hui, la création pour l'Opéra d'une nouvelle chorégraphie de Daphnis et Chloé, une composition de Maurice Ravel avec 23 danseurs du ballet de l'Opéra. Le décor est signé Daniel Buren dont le grand public connait les compositions géométriques et notamment les colonnes de Buren installées au Palais Royal. Interview du chorégraphe qui vit aux Etats-Unis et qui profite de son passage à Paris pour trouver un appartement avec son épouse, la célèbre actrice américaine Nathalie Portman. DISPARITION- La danseuse française, étoile de Balanchine au New York City Ballet, puis directrice de l'Opéra de Paris, est décédée aux Etats Unis à l' de 83 ans. Depuis les révélations concernant le producteur hollywoodien Harvey Weinstein, les accusations de harcèlement ou d’agression sexuelle se succèdent. Début décembre, le Metropolitan Opera de New York a suspendu toute collaboration avec son directeur musical honoraire, le célèbre chef d’orchestre James Levine âgé 74 ans, puis le 24 décembre l’Orchestre symphonique de Montréal a annoncé l’ouverture d’une enquête interne pour des accusations de harcèlement sexuel à l’encontre du chef d’orchestre suisse Charles Dutoit. Aujourd’hui Peter Martins, qui dirige le New York City Ballet, annonce prendre sa retraite après des allégations de harcèlement sexuel et d’abus physique. L’information a été révélée par le New York Times. Peter Martins, 71 ans, est accusé par une vingtaine de danseurs et danseuses d’abus verbaux et physiques. Il est aussi accusé d’avoir abusé de son autorité pour obtenir de certains d’entre eux des relations sexuelles. J’ai nié et je continue à nier avoir eu un quelconque mauvais comportement de ce genre , a écrit Peter Martins dans une lettre au conseil d’administration du ballet dont le New York Times a consulté une copie. Nous remercions Peter pour sa formidable contribution au New York City Ballet en tant que chef de ballet durant plus de trois décennies , a déclaré le président du conseil d’administration Charles W. Scharf dans un communiqué cité par le New York Times. Peter Martins, un Danois, fait l’objet d’une enquête depuis l’envoi d’une lettre anonyme dans laquelle figuraient un certain nombre d’accusations. Un groupe de danseurs a ensuite contacté le New York Times pour porter d’autres accusations sur des faits allégués remontant à 1983. Dans sa vie personnelle, Peter Martins avait été arrêté en juillet 1992 pour avoir agressé sa femme, Darci Kistler , en lui coupant les bras et les jambes, mais celle-ci avait ensuite abandonné les accusations. Né à Copenhague Peter Martins a commencé sa formation de ballet en 1953 avec le Royal Danish Ballet. Il rejoint le corps de ballet en 1965. Il est promu soliste en 1967 et devient danseur principal au New York City Ballet en 1970, puis codirige la compagnie à partir de 1983 avant d’être nommé directeur de ballet en 1989. Peter Martins a dansé une grande variété de rôles, mais il est surtout connu pour le rôle principal dans Apollo et le Cavalier dans Casse – Noisette de Balanchine. Stéphane CAPRON – avec agences et presse américaine. Lechorégraphe l'a créé à la gloire de trois écoles de ballet : française, américaine et russe. Et pour danser les spectacles d'anniversaire avec les artistes du New York City Ballet, on a invité les danseurs de l'Opéra National de Paris et du Théâtre Bolchoï. Le rôle principal des Joyaux « russes » est revenu à Kovaleva. « Pourtant, tout dans cette performance pâlit en Codycross est un jeu dans lequel vous devez deviner plusieurs mots à partir de définitions qui vous sont données. Dans cet article, découvrez la solution de la grille n°5 du groupe 88 dans le monde "Cirque". Dans cette grille, 16 mots sont à deviner. Définition Réponse Une centrale à flamme est appelée centrale __thermiqueÉtoile française du New York City BalletmillepiedFamilier pour désigner un états-unienamerloqueFaire disparaîtresupprimerPhrase concise qui résume une vérité, un principeaphorismeFendiller un objetcraquelerSe dit d'un homme pardonnant difficilementrancunierPoisson dont les œufs composent le caviaresturgeonTechnique d'anesthésie lors de l'accouchementepiduraleLe onzième album des BeatlesabbeyroadSe dit de quelqu'un qui est assujetti aux taxesimposablePatrick Jane est le héros de cette sériementalistGlande qui produit un liquide dans la bouchesalivaireStatue grecque soutenant les corniches des templescariatideIl s'occupe de l'aménagement des villesurbanisteAnnonce faite autour d'un produit, d'un filmlancement Félicitations, vous venez de réussir la grille n°5 du groupe 88 monde "Cirque" de Codycross. Vous pouvez continuer à jouer en découvrant la solution de la grille suivante. Pour cela, cliquez sur le lien suivant Solution de la grille suivante Lancien danseur étoile ("principal") du New York City Ballet a vu sa notoriété, déjà bien établie outre-Atlantique, s'envoler vers des sommets après le film "Black Swan" de Darren
La solution à ce puzzle est constituéè de 9 lettres et commence par la lettre M CodyCross Solution ✅ pour ETOILE FRANÇAISE DU NEW YORK CITY BALLET de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "ETOILE FRANÇAISE DU NEW YORK CITY BALLET" CodyCross Cirque Groupe 88 Grille 5 9 2 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Cirque Solution 88 Groupe 5 Similaires

Pourquoice retour? A Paris, on parlait plutôt de l’étoile Nicolas Le Riche. Benjamin Millepied lui-même semblait privilégier une carrière de chorégraphe volant, à Londres, Moscou ou Genève (il y a monté Les Sylphides et Le Spectre de la rose avec le Ballet du Grand Théâtre en 2011). Après dix ans au sein du New York City Ballet

17 juin 2019 Catégorie Pierre angulaire de cette deuxième édition du festival Paris de la Danse, Les Italiens de l’Opéra de Paris et les Stars of American Ballet ont partagé la scène pour du Théâtre de Paris pour deux programmes différents. Une émulation artistique sous la direction d’Alessio Carbone et Daniel Ulbricht offrant une double perspective sur les écoles française et américaine, un dialogue sur scène entre l’Opéra de Paris et le New York City Ballet avec une affiche ambitieuse renouvelant magnifiquement le genre du gala. Une grande réussite. Gala De New York à Paris 2e programme Les galas sont plutôt rares en France. Ce genre spécifique du ballet classique permet pourtant de voir en un seul spectacle une multitude d’artistes. C'est son premier avantage. En revanche, le programme constitué d’une succession de "pièces à gala" est souvent répétitif. Alessio Carbone et Daniel Ulbricht ont évité cet écueil avec le spectacle De New York à Paris en composant une affiche variée où les grands classiques côtoyaient des œuvres moins connues. Certes, ni les artistes de l’Opéra de Paris ni celles et ceux du New York City Ballet ne sont sortis de leur zone de confort, mais toutes et tous ont offert des prestations soignées. Du côté du New York City Ballet - honneur aux invités ! - beaucoup de belles surprises. Et tout d’abord le retour sur scène de Megan Fairchild après une absence de plusieurs semaines pour cause d'un heureux événement, selon la formule consacrée. Accompagnée par Gonzalo Garcia, la danseuse Principal du NYCB s’est montrée précise et techniquement affûtée dans Sonatine sur la musique de Maurice Ravel. Sonatine est un des ces ballets signés George Balanchine où le pianiste Andrea Tura partage la scène avec le couple de danseurs. Celle du Théâtre de Paris n’est pas très grande et l'espace apparait alors étriqué. Il manque parfois un peu d’ampleur et tous les déplacements sont millimétrés mais le couple du NYCB offre une ouverture balanchinienne du gala de belle facture. Rien à reprocher non plus à Teresa Reichlen et Ask La Cour dans le pas de deux de Diamants de ce même George Balanchine, même s’il reste compliqué de faire surgir l’émotion dans cet extrait hors du contexte du ballet Joyaux. Enfin on connait les qualités athlétiques de Daniel Ulbricht et il n’a pas fait mentir sa réputation en choisissant Tchaikovsky Pas de deux aux côtés d’Indiana Woodward c’est brillant, cela saute haut, c’est parfaitement musical. Un moment de belle virtuosité qui conclut ainsi la première partie du spectacle. C’est après l’entracte qu’arrivent deux chefs-d’œuvre de George Balanchine. Le pas de deux d’Agon d'abord, un de ces fameux ballets en noir et blanc comme on les désigne, en référence aux couleurs des costumes. Teresa Reichlen et Tyler Angle y sont parfaitement à leur aise. Enfin le climax balanchinien fut signé par Sterling Hyltin et Ask La Cour dans Apollo. Ce ballet fut créé à Paris par George Balanchine pour les Ballets Russes et reste l'archétype du ballet néo-classique inventé par le chorégraphe américain. Il s'y approprie le vocabulaire académique et commence à y introduire ce qui seront les marqueurs de son style, comme les déhanchements et mains pliées. George Balanchine retravailla Apollo toute sa vie au fil des interprètes successifs. Ask La Cour est un Apollon idéal, alliant finesse et virilité. Sterling Hyltin est une magnifique danseuse lyrique du New York City Ballet qui en compte peu des lignes superbes, des jambes interminables, une technique éprouvée au service d’une interprétation exemplaire. Du très grand art et un moment unique dans ce gala. Valentine Colasante - Saluts de Don Quichotte On était évidemment curieux de retrouver les danseuses et les danseurs de l’Opéra de Paris dans des extraits du répertoire qu’ils ont peu l’occasion d’interpréter. Et ce fut une divine surprise. Seule Étoile des Italiens de l’Opéra de Paris, Valentine Colasante avait choisi le Grand pas de Don Quichotte, le ballet sur lequel elle fut nommée au titre suprême. Il convient magnifiquement à son tempérament et elle en livra une interprétation impeccable, gratifiant le public de fouettés à toute allure de d’équilibres tenus. Son partenaire d’un jour, Paul Marque, est aujourd’hui dans une forme insolente technique, musical, élégant, on attend désormais sa nomination inéluctable au rang d’Étoile. Le danseur confirme plus tard dans le programme l’excellence de sa danse avec Delibes Suite dans la chorégraphie de José Martinez avec sa partenaire Ambre Chiarcosso. Autre graine d’Étoile qui devrait progresser à toute allure dans la compagnie Bianca Scudamore, épatante dans Caravaggio de Mario Bigonzetti, même si l’on aurait préféré la voir dans une pièce moins ampoulée. Qu’importe sa danse est magistrale, généreuse et culottée. Bianca Scudamore prend tous les risques sur scène, et l'on a hâte de découvrir ses prises de rôle la saison prochaine. Elle forme un couple formidable avec Francesco Mura, l'on espère que ces deux-là danseront ensemble à l’Opéra de Paris. Francesco Mura que l’on retrouve aux côtés d’Andrea Sarri et Julien Guillemard pour Aunis de Jacques Garnier, une jolie pièce pour conclure un gala avec ce mélange de danse classique et folklorique exigeant humour et virtuosité ce que délivrèrent parfaitement ces trois interprètes aux sons des accordéons de Gérard Baraton et Antoine Turpault. Bianca Scudamore aux saluts Puis ce fut le grand final avec le retour sur scène de toutes les danseuses et tous les danseurs, un joli moment de pur cabotinage et de démonstration de virtuosité sur la musique de Czerny extraite du ballet Etudes d’Harald Lander. Sauts, pirouettes, arabesques, fouettés, tout le vocabulaire académique y passe avec bonheur. Ce gala place la barre très haut pour le Paris de la Danse et ces éditions à venir. De New York à Paris au Théâtre de Paris dans le cadre du festival Paris de la Danse. Sonatine de George Balanchine avec Megan Fairchild et Gonzalo Garcia ; Caravaggio de Mauro Bigonzetti avec Bianca Scudamore et Francesco Mura ; Diamants de George Balanchine avec Teresa Reichlen et Ask La Cour, Don Quichotte Grand Pas de Marius Petipa avec Valentine Colasante et Paul Marque ; La Mort du Cygne de Michezl Fokine avec Sofia Rossolini ; Agon Pas de deux de George Balanchine avec Teresa Reichlen et Tyler Angle ; Delibes Suite de José Martinez Ambre Chiarcosso et Paul Marque ; Apollo de George Balanchine avec Sterling Hyltin et Ask La Cour ; Aunis de Jacques Garnier avec Andrea Sarri, Francesco Mura et Julien Guillemard. Ssamedi 15 juin 2019 matinée. Le festival Paris de la danse continue jusqu'au 23 juin avec la Kibbutz Contemporary Dance Company. Related News About Author 1 commentaire Réagissez
Entreressemblances et dissonances se répondent deux grands compositeurs français et deux chorégraphes du New York City Ballet, George Balanchine, son fondateur, et Benjamin Millepied, qui y fut formé. C’est sur une œuvre de jeunesse de Bizet que George Balanchine signe en 1947 sa première création pour le Ballet de l’Opéra, Le Palais de cristal, en hommage à la Compagnie et

Cet article date de plus de neuf ans. Maria Tallchief, danseuse légendaire du New York City Ballet, qui fut l'épouse et la muse du chorégraphe George Balanchine, s'est éteinte jeudi à Chicago à l'âge de 88 ans, a annoncé sa famille. Article rédigé par franceinfo Culture avec AFP - France Télévisions Publié le 13/04/2013 1210 Mis à jour le 06/12/2016 0630 Temps de lecture 1 min. Amérindienne de l'Oklahoma, au sud des Etats-Unis, par son père, irlando-écossaise par sa mère, Maria Tallchief, de son vrai nom Elizabeth Marie Tall Chief, était née le 24 janvier 1925 à Fairfax. Elle avait été la première Amérindienne à être nommée danseuse étoile d'une grande compagnie. Dès 12 ans, elle est formée par Bronislava Nijinska, David Lichine et Pierre Vladimiroff à Los Angeles. Elle fait ses débuts professionnels à 17 ans au Ballet russe de Monte-Carlo en 1942, devenant rapidement l'une de ses principales solistes. C'est dans ce cadre qu'elle rencontre George Balanchine, de 21 ans son aîné, qu'elle épouse en 1946. Elle est ensuite invitée à l'Opéra de Paris avec lui en 1947, avant que le couple ne retourne aux Etats-Unis, où Balanchine se consacre alors au tout nouveau New York City Ballet, dont la première représentation a lieu le 11 octobre 1948. Maria Tallchief en devient rapidement l'étoile à la réputation internationale, grâce notamment à sa composition dans "L'Oiseau de feu" de Stravinsky. Balanchine lui crée des rôles sur mesure Pour elle, Balanchine crée des rôles sur mesure. Outre "L'Oiseau de feu", elle devient la reine des cygnes dans le "Le lac des cygnes", la fée dragée dans "Casse-noisette", Eurydice dans "Orphée"... En 1950, le couple divorce. Maria Tallchief reste au New York City Ballet jusqu'en 1965, mais danse aussi avec d'autres compagnies, l'American Ballet Theatre en 1949, le Ballet russe de Monte-Carlo en 1954 ou encore le Ballet de l'Opéra de Hambourg en 1965. Elle quittera la scène cette année-là. En 1981, elle fonde avec sa soeur Marjorie, également danseuse étoile, le Chicago City Ballet, dont elle sera la directrice artistique pendant six ans. "Ma mère était une légende de la danse classique, qui était fière de son héritage Osage" tribu indienne de l'Oklahoma, a déclaré vendredi sa fille Elise Paschen dans un communiqué. "Son dynamisme illuminait la pièce. Sa passion, son engagement dans son art et son dévouement à sa famille vont me manquer. Elle avait mis la barre très haut, recherchait toujours l'excellence dans tout ce qu'elle faisait." Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Danse

  • Ν лупра ሧужо
  • Хр υлθсвቬቀа с
    • Идра луψэйևж
    • Ղጉσዒσаձуኑи ноቾιφու
Capitalegastronomique des Etats-Unis déployant pléthore de restaurants étoilés, New York exerce un formidable pouvoir d’attraction sur les meilleurs chefs du globe, dont de grands noms français : Daniel Boulud, Eric Ripert ou encore Jean-George Vongerichten sont venus y chercher la gloire et vivre leur American Dream. Mais ici, les cuisines de tous les continents ont trouvé un
Plusieurs et célèbres personnalités françaises sont nées dans la capitale girondine, La Rédaction de Vivre Bordeaux en a sélectionné 10 et certaines risquent de vous surprendre… Ils sont ou ont été écrivains, chanteurs, scientifiques ou encore sportifs, tout le monde les connait sans savoir particulièrement dans quelle ville ils sont nés. De Serge Lama à Julien Courbet, toutes générations confondues, ils sont nés dans le coin et nous les voyons aujourd’hui à la télé, dans les magazines ou dans les publicités ! 1. François Mauriac François Mauriac est né le 11 octobre 1885 dans la maison familiale du 86, rue du Pas-Saint-Georges à Bordeaux. Célèbre écrivain français, il a reçu le Lauréat du Grand prix du roman de l’Académie française en 1926 et était élu membre de l’Académie française en 1933. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1952. Parmi ses œuvres les plus célèbres, on retrouve Thérèse Desqueyroux où il dépeint le portrait fascinant d’une criminelle. 2. Jacques-Yves Cousteau Né le 11 juin 1910 à Saint-André-de-Cubzac, près de Bordeaux, ce grand Monsieur est le plus grand explorateur océanographique du monde. Il a a permis à des générations entières de rêver des mystères des fonds marins, révélés par le commandant de la Calypso. Jacques-Yves Cousteau a, lui même, perfectionné le principe du scaphandre autonome, devenu le matériel de plongée moderne. 3. Danielle Darrieux Née le 1er mai 1917 à Bordeaux, en huit décennies de carrière, Danielle Darrieux a traversé l’histoire du cinéma avec une carrière exceptionnelle. Elle est aujourd’hui l’une des dernières actrices mythiques du cinéma mondial. Elle a joué dans 103 films dont Madame de.. 1953, la Ronde 1950, l’Affaire Cicéron 1952. Elle tourne aussi avec les plus grands acteurs de l’époque comme Jean Gabin, Jeanne Moreau, Bourvil, Fernandel, Louis de Funès et Alain Delon… Un colloque lui était même consacré à l’Université de Bordeaux en 2017. 4. Serge Lama Né le 11 février 1943 à Bordeaux, Serge Lama fait partie des chanteurs les plus populaires depuis la fin des années 60. On lui doit plusieurs tubes, dont Je suis malade, Les P’tites femmes de Pigalle ou encore Femme, femme, femme. Près de 25 millions de disques vendus, il compte quand même 22 albums studio et 9 albums live. Pour la petite anecdote Son père, Georges Chauvier, était baryton au Grand Théâtre de Bordeaux et connaissait une certaine notoriété locale, en chantant des opérettes ! 5. Sophie Davant Née le 19 mai 1963 à Bordeaux, la journaliste, animatrice de radio et de télévision, Sophie Davant a grandit à Cestas, en Gironde. Elle est issue d’une famille de scientifiques, son père, Pierre Davant est d’ailleurs l’un des fondateurs de la SEPANSO Société pour l’étude, la protection et l’aménagement de la nature dans le Sud-Ouest et de la réserve nationale du Banc d’Arguin sur le bassin d’Arcachon. Vous avez sûrement déjà vu l’animatrice sur France 2 dans les émissions “Télématin” ou “Fort Boyard” et plus récemment sur “Toute une histoire” . 6. Nicolas Canteloup Né le 4 novembre 1963 à Mérignac, Nicolas Canteloup est un humoriste et imitateur qui a débuté en tant qu’animateur au Club Med au début des années 1990 puis à la radio et à la télévision. Il apparaît aujourd’hui dans de nombreuses émissions télévisées et se produit également sur scène et fait rire un grand nombre de français. Pendant plusieurs années, il a imité pour les Guignols de l’info sur Canal+ une quarantaine de voix. 7. Julien Courbet Né le 7 février 1965 à Eysines, près de Bordeaux, Julien Courbet a fait une partie de ses études au lycée Montesquieu à Bordeaux. C’est aussi ici qu’il commença sa carrière de journaliste en travaillant à France 3 Aquitaine. En 1985, il est étudiant en marketing et a une révélation quand il fait ses premiers pas d’animateur radio à Bordeaux. Par la suite, il se fait rapidement remarquer par Gérard Louvin, alors producteur des émissions de Jean-Pierre Foucault, arrive sur TF1 en 1993 comme chroniqueur de l’émission Sacrée Soirée et Courbet devient très vite un des piliers du divertissement sur TF1. 8. Pierre Palmade Né le 23 mars 1968 à Bordeaux, il étudie à l’école Paul-Antin Nansouty puis au collège Alain-Fournier Saint-Genès et ensuite au lycée Michel-Montaigne. Il est découvert lors de la “Nuit du Théâtre” de Bordeaux organisée par Jean-Pierre Terracol, alors directeur artistique du théâtre “La Lucarne” Quartier Saint-Michel. Pierre Palmade mène ensuite un parcours artistique se balançant entre théâtre, télévision et cinéma. 9. Christophe Dugarry Né le 24 mars 1972 à Lormont, le célèbre joueur de foot à la renommée mondiale a débuté le football à l’US Lormont, avant de rejoindre les Girondins de Bordeaux à 17 ans et d’exploser dans sa carrière. Christophe Dugarry sera appelé par la suite en Equipe de France dès 1994 où il va côtoyer des grands noms du football comme Bixente Lizarazu ou encore Zinédine Zidane. Il participe brillament avec l’Equipe de France à la victoire des Bleus » lors de la Coupe du monde 1998, de même que le Championnat d’Europe en 2000. 10. Benjamin Millepied Née le 10 juin 1977 à Bordeaux, Benjamin Millepied est un danseur et chorégraphe de renommée mondiale, il est étoile du New York City Ballet et devient en 2004 directeur artistique du Morriss Center Dance » à Bridgehampton New York. Il a aussi été le directeur de la danse à la tête du ballet de l’Opéra de Paris du 1er novembre 2014 au 15 juillet 2016. Pour le petite anecdote Il rencontre l’actrice Natalie Portman lors du tournage du film Black Swan. Fiancés en décembre 2010, ils se marient le 4 août 2012 sur la côte de Big Sur en Californie et sont maintenant parents de deux enfants. Et pour les cinéphiles qui aiment admirer la Belle Endormie, voici les 7 films tournés à Bordeaux à voir absolument ! Photo de Une 10 personnalités connues qui sont nées à Bordeaux / © saiko3p A T
Invitéen 1933 par Lincoln Kirstein à fonder une école de danse aux États-Unis, la School of American Ballet, Balanchine mène à partir de 1948 une prestigieuse carrière à la direction du New York City Ballet. En 1947, il est invité par Georges Hirsch à assurer, durant six mois, les fonctions de Maître de ballet à l’Opéra national de Paris. George Balanchine signe alors sa
Par Céline Musseau - le 27/06/2022 à 14h58Mis à jour le 27/06/2022 à 17h51 Cette nouvelle saison affiche 73 spectacles pour 93 représentations, convoquant des propositions aussi exigeantes que grand public Enfin, les affaires reprennent… de plus belle. La bonne nouvelle, c’est que la salle du Pin galant a pu remonter la pente de ces deux années très difficiles, à la grande satisfaction de son directeur Philippe Prost qui a présenté sa nouvelle saison il y a quelques jours et peut espérer de la voir se dérouler dans de bonnes conditions. On notera une...Enfin, les affaires reprennent… de plus belle. La bonne nouvelle, c’est que la salle du Pin galant a pu remonter la pente de ces deux années très difficiles, à la grande satisfaction de son directeur Philippe Prost qui a présenté sa nouvelle saison il y a quelques jours et peut espérer de la voir se dérouler dans de bonnes conditions. On notera une belle présence du théâtre pour tous les publics, des concerts, de grands shows, de la danse de très haut vol et quelques têtes d’affiche iconiques. One Shot - Ousmane Sy Création 2021 from CCNRB on Vimeo. Et on commencera par elles. L’un des gros événements, c’est certainement la venue de Vanessa Paradis dans une pièce de Samuel Benchetrit. La comédienne, qui n’avait jamais mis les pieds sur une scène de théâtre, a été convaincue par son auteur de mari qui lui a écrit un rôle sur mesure dans Maman », une histoire de femme blessée et belle pioche aussi pour le Pin galant avec la venue du chorégraphe Benjamin Millepied, danseur étoile du New York City Ballet et ancien directeur de la danse à l’Opéra de Paris, qui donnera deux soirs sa dernière création Roméo et Juliette Suite ». En collaboration avec le Dance Project, il offre une vision contemporaine du chef-d’œuvre de Prokofiev dans une forme évoluant entre danse, cinéma et théâtre. Quant à la représentation de One Shot » d’Ousmane Sy, ce sera un rendez-vous doublement émouvant puisque le chorégraphe, ambassadeur de la French touch » hip-hop dans le monde entier, est décédé en décembre à l’âge de 40 Casta, autre icône française, avait déjà fait du théâtre. Cette fois-ci, elle va raconter et incarner la vie poignante d’une légende du piano dans Clara Haskil, prélude et fugue ». D’autres têtes d’affiche bien connues des spectateurs français sont annoncées Le Duel de piano » d’André Manoukian et Jean-François Zygel, L’Avare » avec Michel Boujenah ou encore Daniel Auteuil… en concert – oui, le comédien se lance depuis peu ! Tandis qu’une reine en la matière, Véronique Sanson, tout comme Michel Fugain ou Enrico Macias, font partie des artistes monuments de la chanson française attendus à Mérignac. Vanessa Paradis incarne Maman », un rôle écrit pour elle par Samuel Benchetrit. Jean-Baptiste Mondino Au programme de cette nouvelle saison, beaucoup d’humour également grinçant avec Stéphane Guillon, absurde avec Paul Mirabel, poétique avec Vincent la salle de Mérignac accueillera quelques habitués, dont le célèbre cirque Slava’s Snowshow » pour sept séances en cinq jours en janvier – à ne pas manquer pour ceux qui n’ont jamais vécu cette expérience hors norme avec tempête de neige et bulles géantes. On verra aussi le retour deux jours durant du Tutu » plein de délicatesse et d’humour de Philippe Lafeuille, et la compagnie Käfig avec Zephyr ». Opérettes et comédies musicales ne sont pas oubliées avec quelques pépites pour tous les au 34 avenue du Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny, sans rendez-vous jusqu’au 13 juillet, du lundi au vendredi de 11 à 18 heures, ou par téléphone au 05 56 97 82 82. Programme complet sur .